Alors que les analystes saisonniers prédisaient une baisse des actions en septembre, la vraie chute a concerné les marchés obligataires.Est-ce grave ? Oui.
Alors que les marchés retrouvaient des vents porteurs, une nouvelle crise en provenance de Russie vient de s’inviter. Va-t-elle stopper le rallye d'été ?
Jamais une récession n’a été autant anticipée. Les investisseurs étant sous-exposés, il est difficile d'imaginer une forte pression à la vente. Sans vendeurs, les marchés peuvent-ils chuter ?
Les premiers effets de la hausse des taux commencent à peine à se faire sentir que les banques centrales doivent déjà choisir entre l’inflation et la catastrophe financière.
En janvier, les marchés ont acheté l’histoire qu’on pouvait contenir les pressions inflationnistes sans mettre en danger la croissance. Sommes-nous dans un conte de fées ?
A défaut de boule de cristal, nous avons essayé de lire dans les bulles du Cristal. Alors que les nuages s’accumulent, rien n’indique que la tempête est imminente.